mardi 3 mai 2016

Le génocide fondateur des USA

Un holocauste caché 

Massacre de Wounded Knee, le 29 décembre 1890 : hommes, femmes et enfants sioux massacrés à la mitrailleuse
Lorsque l'on parle de génocide, on a l'impression d'entrer dans un champ de mine à la fois sémantique et idéologique, une sorte de domaine réservé à la Bien pensance dominante. Si le génocide des juifs est une réalité historique, force est de constater qu'il occulte dans l'opinion tous les autres génocides de l'Histoire, y compris ceux réalisés dans les mêmes camps de concentration nazis comme par exemple le massacre des tziganes. La Shoah est juste le premier génocide de l'Histoire a avoir été jugé par la loi, et espérons que ce concept juridique de génocide ne soit pas unique et que d'autres holocaustes du passé et du présent fassent aussi l'objet d'une condamnation officielle. 

Parce que aujourd'hui, on l'impression qu'un monopole de la souffrance est imposé par une pensée unique qui utilise l'Histoire pour se forger une légitimité mythique. Et lorsque d'autres génocides sont évoqués comme celui des arméniens par la Turquie, cela provoque même une levée de boucliers ou une indifférence à peine gênée de la part d'une communauté internationale engluée dans des intérêts militaro- industriels avec Ankara.

Sans entrer dans un classement de l'horreur, les génocides sont innombrables dans l'Histoire humaine, y compris dans celle du peuple juif qui nous donne peut-être le plus ancien témoignage d'un génocide humain, en l’occurrence celui du peuple de Canaan par les hébreux : « Et ils détruisirent entièrement, par le tranchant de l’épée, tout ce qui était dans la ville, et homme et femme, et enfants et vieillard, les boeufs, les moutons et les ânes. » – Josué 6:21 

Mais sans conteste, le génocide le plus important de l'Histoire humaine reste celui des peuples natifs du Nouveau Monde, du Grand Nord glacé jusqu'à la terre de feu. Les Etats Unis d'Amérique, ont fondé leur nation sur l'extermination des indiens dont 80 à 100 millions périrent pendant la colonisation de leur continent.

De ces massacres, l'Histoire retient surtout les batailles entre la résistance armée des tribus et la cavalerie des Etats Unis "pacifiant" le pays, histoire de présenter la disparition des autochtones comme une conséquence de victoires militaires acceptables...

Si le génocide, à savoir la suppression physique et immédiate des individus est la conséquence la plus apparente de la négation identitaire menée par un dominateur ethnocentré, il ne faut pas oublier qu'elle est complétée et se prolonge par une politique visant à éradiquer ensuite chez les survivants sociétalement déstructurés, physiquement déplacés leur identité naturelle, culturelle et cultuelle fondatrices...
Il s'agit alors d'un ethnocide, c’est à dire "la destruction systématique des modes de vie et de pensée de gens différents de ceux qui mènent cette entreprise de destruction". Les méthodes de cette extermination de velours sont multiples et toujours en cours, de l'évangélisation au programmes scolaires, en passant par l'alcoolisation et les déplacements de population...

Les Etats Unis d'Amérique se sont fondés sur des charniers amérindiens, puis plus tard sur les déportations massives des esclaves africains, et leur totalitarisme intolérant et violent continue aujourd'hui à travers les guerres néocoloniales qu'elles soient militaires, économiques ou culturelles que Washington mène à travers le Monde pour imposer sa pensée unique...

Au sujet de la guerre de préemption menée contre un Irak refusant le monopole du pétrodollar, la Secrétaire d'Etat américaine de l'époque  Madeleine Albright (ministre des affaires étrangères) estime que la mort de 500 000 enfants en valait la peine !

Les indiens d'Amérique sont donc les premières victimes et surtout le symbole toujours brûlant de ce vampire qui s'auto-proclame le "Nouvel Ordre Mondial"


Erwan Castel

Indiens d’Amérique: 
un génocide tranquille et presqu’achevé

Massacre de femmes et d’enfants indiens dans l’Idaho, Frank Leslie’s Illustrated, Août 1868
vendredi 28 novembre 2014

C’est l’un des plus grands génocides de l’histoire, plus grand encore que celui qui nous est continuellement ressassé, car l’on parle ici de 80 millions à 100 millions de personnes! Et pourtant, celui-ci continue tranquillement. Les amérindiens sont « protégés », principalement en tant que source de revenus, avec la visite des zoos réserves, grâce au cinéma, à la culture, mais sinon… Leur principal droit est celui-ci de conserver le silence, aux États-Unis, le « blanc » reste maître !

Les Etats-Unis ne voient pas d’un bon œil que le sort des Indiens d’Amérique soit pour la première fois à l’ordre du jour des Nations-Unies. Car il s’agit de se pencher sur le sort d’une population de 2,7 millions d’habitants ravagés par une multitude de fléaux et dans des proportions effroyables. Mais qu’en attendre? Car la parole de ces exterminés est inaudible.

Un jour d’avril 1973, un militant noir américain pour les droits civiques, Ray Robinson, qui a longtemps suivi Martin Luther King, débarque à Wounded Knee, dans le Dakota du Sud. Il souhaite apporter son soutien à la cause des « Native Americans », ainsi que l’on nomme les Indiens aux Etats-Unis, qui manifestent contre les injustices dont ils sont victimes dans le pays. Wounded Knee est un lieu emblématique et de sinistre mémoire. C’est là, en effet, que furent massacrés et jetés dans une fosse commune entre 150 et 300 hommes, femmes et enfants au matin du 29 décembre 1890, par le 7ème régiment de Cavalerie du Colonel James Forsyth. Sitôt arrivé dans ces lieux où résident toujours une petite communauté indienne, Ray Robinson appelle sa femme qui lui demande de rentrer à la maison, inquiète car elle sait que la situation sur place est explosive. Elle ne le reverra jamais. Après avoir reçue l’annonce de la mort de son époux, Cheryl n’a jamais pu savoir ce qui était arrivé à son mari ni où son corps avait été enterré.

Voilà quelques jours, quarante ans plus tard, Cheryl a fait le voyage de Détroit à Sioux City pour témoigner de son histoire. Le gouvernement américain refuse toujours de communiquer sur le sort de son mari, officiellement parce que le cas est toujours en cours d’investigation par le bureau du FBI de Minneapolis. A Wounded Knee, plus personne ne se souvient de Ray Robinson. Une épisode parmi tant d’autres dans l’histoire des militants de la cause des Indiens d’Amérique, qui n’a jamais bénéficié d’un large soutien populaire et que beaucoup voudraientt voir s’éteindre.

Et de fait, cynisme et indifférence se conjuguent pour ensevelir année après année la mémoire des peuples indiens presqu’entièrement anéantis en Amérique du Nord.

On ne va pas le nier, les Apaches, les Cheyennes, les Iroquois, les Sioux ou les Esquimaux ne nous inspirent pas, la plupart du temps, un sentiment extrême de culpabilité. Mais ce n’est rien comparé au pays du Western et de la Country. Pas plus que le Jazz ou le Blues ne suscitent leur part de tristesse chez leurs amateurs et ne réveillent chez eux les souvenirs tragiques des lynchages des Noirs, ces genres populaires ne renvoient à la réalité d’un génocide toujours en cours dans l’indifférence générale.

Lorsqu’un Américain de l’Illinois souhaite acheter ses cigarettes à bas prix (un paquet coûte ici actuellement 10 dollars), il prend la route du sud de l’Etat ou de l’Indiana voisin, pour s’approvisionner dans l’un des territoires octroyés aux tribus indiennes locales. Là, il paiera son paquet de cigarettes 4 dollars en moyenne. Dans un certain nombre de ces tribus, qui sont des milliers à travers les Etats-Unis, on peut également se procurer de l’alcool à bon marché, jouer au casino (dans 452 d’entre-elles) ou, si l’on se sent possédé par le mal (ce qui est très en vogue), consulter un shaman. Il est toujours très exotique de s’offrir une escapade dans ces drôles d’endroits. Pourtant, l’Américain moyen ne s’y risque pas trop.

En effet, 2,1 millions de ces Indiens, soit l’écrasante majorité, vivent largement sous le seuil de la pauvreté. La vision offerte par bien des campements tient purement du bidonville. Et une fois passé ses limites, c’est un voyage en enfer qui commence. L’alcoolisme y prend des proportions catastrophiques. Le chômage y bat tous les records du pays. La maladie s’y propage et tue comme dans les pires zones de la planète. Le suicide, celui des jeunes en particulier, crève le plafond des statistiques. Les Indiens vivant à l’extérieur des tribus n’y reviennent eux-mêmes que pour se faire soigner lorsqu’ils n’ont pas, chose courante, accès au système de santé américain.

Anthony B. Bradley est Professeur de Théologie au King’s College de New York et Spécialiste des questions raciales aux Etats-Unis. « Si quiconque pense que le gouvernement fédéral sait ce qui est bon pour les communautés locales, explique t-il, il ferait bien de visiter une Réserve Indienne Américaine. Les Natifs Américains [Indiens d’Amérique, NDA] sont aujourd’hui plongés dans le cauchemar de la privation de soins et d’économie qui est la conséquence directe des problèmes crées par le Gouvernement lequel, en imposant des solutions sensées résoudre les problèmes, rend ceux-ci bien pires en retirant aux communautés leur autonomie. »

Tel est le prix à payer pour les Indiens d’Amérique, afin de rester sur la terre de leurs ancêtres, grâce aux concessions faites par le gouvernement fédéral. Pourtant, les Etats abritant ces réserves n’ont de cesse de rogner ces droits et de tenter de récupérer par tous les moyens ces espaces.

Pire, une certaine propagande laissant entendre que les Indiens d’Amérique auraient fait le choix de vivre dans ces conditions a fort bien fonctionné dans l’esprit collectif. Or, cela repose sur une contre-vérité historique.

L’une des plus graves violations des Droits de l’Homme dans le monde
En effet, peu rappellent le grand mouvement de délocalisation qui fut la conséquence de l’Indian Removal Act [Loi sur le Retrait Indien, NDA] lequel, au milieu du XIXe siecle, contraint les Indiens à délaisser leurs terres historiques au gouvernement pour se concentrer dans les zones qui leur étaient réservées en échange. En 1890, il était devenu interdit aux Indiens de sortir hors de leurs réserves afin de s’approvisionner en nourriture. Une étude du Professeur Jeffrey E.Holm, de l’Université de Médecine du Nord Dakota, a mis en évidence que le changement de régime alimentaire imposé durant des décennies aux tribus indiennes a engendré une surmortalité aujourd’hui toujours existante, en raison des pathologies qu’elles ont engendrées pour des peuples qui ne pouvaient plus se nourrir comme ils l’avaient fait durant des millénaires.

En 2010, les Etats-Unis, dans la foulée du Canada, fut le dernier pays au monde à ratifier la Déclaration des droits des Peuples indigènes aux Nations-Unies. Une des rares concessions faites par un pays qui place souvent l’Histoire au dernier rang de ses préoccupations, si ce n’est pour en offrir une version idéalisée. Mais en l’espèce, il est impossible d’idéaliser la réalité sur laquelle s’est construite l’Amérique. En effet, 90% des tribus amérindiennes ont disparu à la suite de l’arrivée des Européens en Amérique du Nord, la plus grande partie à cause des maladies, la partie restante par les armes.

Mais ce n’est pas tant cette réalité historique qui rend ces jours-ci le rôle du Professeur James Anaya complexe, en tant que Rapporteur spécial des Nations-Unies sur les Peuples indigènes. Bien que, pour la première fois de leur histoire, l’organisation se penche, du 23 avril au 4 mai, sur le sort des Indiens d’Amérique, ce qui en soit est déjà un événement notable, c’est avant tout pour regarder en face une réalité qui n’est pas celle du passé mais celle du présent.

Cette réalité concerne les 2,7 millions d’Indiens vivant actuellement sur le territoire des Etats-Unis, et qui constitue l’un des cas de violation des droits de l’homme a grande échelle le plus emblématique de toutes les nations développées.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes:

Les Indiens d'Amérique vivent en moyenne 6 ans de moins que les autres Américains

Ils ont 77% de risques en plus de mourir d'alcoolisme
Ils ont 66,5% de risques en plus de mourir de Tuberculose
Ils ont 42% de risques en plus de mourir de Diabète
Ils ont 28% de risques en plus de mourir d'accidents
Ils ont 52% de risques en plus de mourir de Pneumonie et de Grippe

(Source: Commission des Etats-Unis sur les Droits Civils, 2004:8)

Les Indiens d'Amérique se sont vus accorder la citoyenneté américaine en 1924. Mais ils ont pour longtemps encore été exposes au même sort que les Noirs américains, empêchés d'accéder à l'enseignement scolaire, victimes de la ségrégation.

Ce n'est qu'en 1969 qu'ils se sont organises, dans la foulée de la loi sur les Droits civils des Indiens votée l'année précédente. C'est à cette époque qu'ils ont obtenu ce dont les Américains blancs jouissaient depuis deux siècles: la liberté d'expression et d'information, la protection contre les recherches et les arrestations arbitraires, le droit d'engager un avocat pour se défendre, la protection contre les punitions inhumaines et dégradantes, contre les cautions excessives, l'abolition de la peine systématique d'un an d'emprisonnement ou de 5000 dollars d'amende quel que soit le délit commis, le droit d'être jugé par un jury, et ainsi de suite.

Mais à l'heure actuelle, aucun Indien d'Amérique, citoyen des Etats-Unis, n'a accès à la plénitude des droits des autres citoyens américains. Une réalité qui peut prendre des aspects accablants pour l'Administration américaine. Ainsi, le 6 novembre 2008, le Gouverneur du Dakota du Sud, Michael Rounds, décrète l'état d'urgence car son Etat est recouvert par une épaisse couche de neige et de glace qui le paralyse. Mais les réserves indiennes seront exclues du dispositif. 

Mais le pire pour ces tribus à l'heure actuelle vient probablement de la pression des Etats pour s'accaparer leurs terres. Les conflits sont nombreux à travers tout le pays. Ils sont allumes sous divers motifs, comme la volonté du Gouverneur de New York, en 2007, d'étendre la taxation de l'Etat aux territoires de la Nation des Seneca, ce qui a engendre une violente bagarre juridique. Et bien que les territoires laisses aux Indiens soient pour la majorité pauvres en ressources et difficiles d'accès, leur contestation par les Etats qui les abritent sont de plus en plus courantes. 

Toutefois, la pente naturelle démographique et sociologique suivie par cette population dont la Constitution américaine fait fi devrait se résoudre par le procédé le plus naturel du monde dans les décennies qui viennent: l'extinction. 

Source de cet article : Marianne



LIRE LE RAPPORT DE L'ORGANISATION SURVIVAL, le lien : ICI

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Le génocide amérindien au Canada: 
des dizaines de milliers d’enfants tués par l’Eglise



C’est encore un autre fichier de l’histoire interdite, une autre leçon,que  vous n’apprendrez jamais à l’école soit celle du génocide canadien des enfants des Premières nations

Les dossiers de la mort de dizaines de milliers d’enfants des Premières nations qui sont morts pendant la période de résidence « écoles » [c.-à-camps d’extermination] qui opéraient au Canada ,ont été remis à la Commission Vérité et Réconciliation.

Plusieurs gouvernements provinciaux ont abandonné les dossiers à la commission, qui va maintenant recouper les informations avec des listes d’élèves pour déterminer qui, parmi les enfants sont morts tandis que dans le soin de l’église-run « écoles » et où ils pourraient être enterrés.

« Nous entendons des survivants d’avoir perdu des êtres chers dans les écoles et de ne pas savoir ce que leur sort était, ce qui leur est arrivé, s’ils sont morts et, s’ils sont morts, où ils sont enterrés», a déclaré Kimberley Murray, directeur exécutif de la commission. «C’est une vérité importante, ils doivent avoir avant de pouvoir aller de l’avant à la réconciliation. »

La Colombie-Britannique a ouvert les vannes de la libération de 4.900 dossiers de décès pour les enfants âgés de 4 à 19 -. Le premier lot, il y a quelques mois et plus tard le vendredi de la province registraire général, qui est en charge de l’état civil, a fait appel à des collègues à travers le pays à ouvrir leurs archives, ainsi, et de l’Alberta, la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick ont emboîté le pas. Manitoba, l’Ontario et les territoires collaborent avec la commission sur la libération de leurs dossiers, a déclaré Murray. Environ 150.000 des Premières nations, des Inuits et des Métis enfants rendit à l’église-run « écoles », le dernier qui a fermé en 1996. Beaucoup d’enfants ne sont jamais retournés dans leurs foyers, selon la commission. Certains se sont enfuis, certains sont morts.

«Souvent, leurs parents et les familles n’ont jamais été informés de leur disparition ou de la mort », a indiqué la commission dans un rapport provisoire.

En vertu de la convention de règlement des écoles résidentielles, seul le gouvernement fédéral et les églises sont tenus de fournir des documents à la commission. Provinces ne sont pas mais ont été très coopératifs une fois demandé, en mettant leurs propres ressources dans des archives à la recherche, a déclaré Murray. En Colombie-Britannique, où jusqu’à 1956 enregistrements de décès ont été séparés et le formulaire officiel était de la «mort d’un Indien, » les fonctionnaires ont été en mesure d’affiner le dossier aux enfants âgés de quatre à 19 ans. Ils couvrent la période de 1870 à 1984, lorsque le dernier « école » résidentiel fermé ses portes dans la province. Alberta fourni à la Commission 10 000 dossiers cette semaine pour les Premières nations qui morts entre 1923 et 1945, bien que l’agence ne pouvait pas restreindre le champ aux enfants seulement. du Nouveau-Brunswick situé à une poignée de dossiers et de la Nouvelle-Écosse a récemment tourné plus de 125 dossiers. Ontario sera, de loin, la plus grande archive comme il l’avait le plus grand nombre de «écoles», a déclaré Murray. Les documents vous seront utiles manquant projet des enfants de la commission, qui vise à identifier tous les enfants qui sont morts dans les écoles résidentielles « . » Cette liste a 4000 noms et de comptage.

« Les informations contenues dans les certificats est utile parce que nous pouvons savoir de la mort, mais nous ne savons pas le nom. Nous pouvons avoir un document qui dit  qu’une jeune fille de 13 ans  est morte ce jour-là », mais ils ne la nomme pas, puis nous obtenons l’acte de décès et il y a la jeune fille. C’est comme un processus d’appariement », a déclaré Murray. «Nous trouvons de nouveaux décès que nous ne connaissions pas et nous  pouvons trouver plus d’informations sur les décès que nous ne connaissions  déjà ».

John Rustad, le ministre des relations avec les Autochtones de la Colombie-Britannique, a déclaré que  la réconciliation est un voyage collectif.

« Fournir ces données est une façon de continuer la guérison de la relation entre les Canadiens autochtones et non autochtones et une occasion pour la province de la Colombie-Britannique d’apporter une contribution à la guérison de la plaie horrible laissée par les pensionnats indiens», a déclaré dans un communiqué Rustad d’Edmonton.

La commission a déploré le manque de coopération du gouvernement fédéral en tournant sur ​​les documents mais Murray dit que s’est améliorée depuis la commission a gagné un procès sur la question il ya un an. personnel de la Commission ont eu accès à des recherches dans les dossiers de santé Canada, Affaires indiennes et de la GRC. Tous les organismes ont fait preuve de coopération, a déclaré Murray. La commission a reçu une prolongation d’un an de son mandat initial de cinq ans, et un rapport est maintenant dû en Juin 2015. par Dene Moore, WCNN ; | Ajouts: Alexander légères, HumansAreFree.com ; Comme tous les éléments de preuve montrent, ces église-run « écoles » étaient dans les camps d’extermination d’information pour les enfants. sacrifice des enfants est un ancien satanique rituel dédié à Moloch  et, comme vous le savez peut-être, la religion secrete de «l’élite» du monde est le satanisme .


Source de l'article : Michelduchaine.com

Il ne faut pas oublier que ceux qui ont le plus soufferts ne sont pas toujours ceux qui le font le plus entendre…


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2 commentaires:

  1. Pourrait-on savoir où trouver la version originale, de façon notamment à avoir une chance de savoir ce que peut bien être une école-run ?

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    1. Je n'ai pas la version originale de cet article mais des partages seulement. Quant à "Ecole run" cela désigne si je ne me trompe pas le fait d'emmener les enfants à l'école en général, mais ici de les y emmener à fin de conditionnement via l'éducation scolaire... "Il s'agit de tuer l'âme indienne dans le corps des enfants"

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